Non, je ne suis ni psychiatre, ni médecin. Tout traitement doit être vu avec ces professionnels de santé. Je vous demanderai donc parfois, un accord de votre médecin, pour un accompagnement en cas de dépressions sévères, tendances suicidaires, bi-polarité…

Pourquoi pas, mais bien que l’hypnose fasse partie des thérapies brèves, le praticien n’a pas en sa possession de baguette magique ou un don héréditaire. Il utilise des techniques de communication qui touchent l’inconscient, et qui, avec la participation du client, va permettre d’amorcer des changements. Afin que le changement se mette en place de manière durable, mon travail va au-delà du symptôme que représente votre problématique pour aller à sa source. Pour cela, plusieurs séances peuvent être nécessaires.

Non, que les transes soient légères ou profondes, vous restez toujours lucide, et capable de reprendre immédiatement les activités de votre quotidien. Aussi, vous pouvez toujours vous exprimer et interagir avec le praticien qui vous accompagne.

C’est une réaction normale que d’appréhender ce que l’on ne connaît pas. Et quand l’approche est faîte, vous pourrez constater que l’état d’hypnose est en fait, un état naturel, et que l’on y accède facilement. Alors, en partant de cette constatation, l’appréhension pourra laisser la place à l’envie et à la curiosité.